Je suis un cœur d'artichaut.
Si si c'est vrai, un rien me touche.
Le probleme c'est que non seulement ce qui le touche, ce sont des
problèmes que l'on considérera complètement futile. Et si je
m'intéresse a quelque chose de grave, je ne parviens ni a afficher un
visage concerné, ni a consoler la personne qui a des problèmes.
problèmes que l'on considérera complètement futile. Et si je
m'intéresse a quelque chose de grave, je ne parviens ni a afficher un
visage concerné, ni a consoler la personne qui a des problèmes.
Effectivement en général, un problème grave est un problème
personnel, et quand je dis grave je ne parle pas de soucis de jeunes
emos pré-pubères qui pensent encore que s'habiller en noir fait d'eux
des "antis".
personnel, et quand je dis grave je ne parle pas de soucis de jeunes
emos pré-pubères qui pensent encore que s'habiller en noir fait d'eux
des "antis".
Non de vrais problèmes, vous savez ceux qui vous font pleurer seul.
Alors évidemment nous ne sommes pas tous sensibles de la même façon.
Nous n'avons pas non plus le même ordre de priorité, ni le même
discernement entre ce qui est grave, et ce qui ne l'est pas.
Nous n'avons pas non plus le même ordre de priorité, ni le même
discernement entre ce qui est grave, et ce qui ne l'est pas.
La souffrance, c'est humain, c'est psychique. Plus que la douleur elle
enferme, castre...
enferme, castre...
Je suis un robot. Mon visage est mi-noir, mi-blanc. Les yeux toujours
mi-clos, on me demande constamment si je me drogue. Ma voix est
monocorde, inintelligible. Je parle trop vite.
mi-clos, on me demande constamment si je me drogue. Ma voix est
monocorde, inintelligible. Je parle trop vite.
En écrivant comme ça je m'apercois que je fais du Larcenet.
Je déteste Larcenet.
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